La pilule tueuse enfin démasquée !
Ils ont attendu à la retraite pour dire tout haut ce qu'ils ont toujours enseigné dans les secrets de leurs cabinets médicaux. Oui ! Les professeurs Maté et Israël, célèbres cancérologues, ont confirmé que la pilule contraceptive a toujours été un produit potentiellement cancérigène.
Le premier, il y a trente ans, s'insurgeait déjà contre ce produit lancé à la hâte, et qui allait faire flamber ce qu'on appelle, aujourd'hui, las cancers des tissus hormono-sensibles et hormono-dépendants.
L'OMS, de son côté, vient de rendre publique les conclusions d'un groupe de vingt et un chercheurs venus de huit pays : "La pilule diminue le risque de cancer de l'endomètre et de l'ovaire, mais augmente celui du cancer du sein, du col utérin et du foie."
En Europe, celui du sein est de loin le plus fréquent avec 27,4% de tous les cancers et c'est le tueur numéro un avec presque 130 000 décès par an. Il frappe des femmes de plus en plus jeunes. D'autre part et pour la première fois, le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérigènes du "groupe 1" et c'est peu dire ! : ceux dont l'action est certaine.
Dans le monde, plus de cent millions de femmes prennent la pilule, soit près de 10% de celles en âge de procréer. Et l'usage de ces oestro-progestatifs de synthèses est en hausse. Pourquoi la prise d'hormones de synthèse augemente-t-elle les risques ?
D'abord, parce que les tissus-cibles, c'est-à-dire les cellules qui possèdent des récepteurs à ces hormones - dans le sein par exemple – y sont exposées pendant trois semines sur quatre chaque mois, au lieu de dix à quatroze jours pour la progestérone sécrétée naturellement par l'ovaire. Le risque est d'autant plus grand que la prise est précoce, dès l'adolescence, et qu'elle s'étale sur des décennies.
Mais ce n'est pas tout. Les gynécologues, aujourd'hui, constatent également que les oestro-progestatifs prescrits par eux pendant des années aux femmes en pré-ménopause ou ménopausées, ont fait flamber les cancers hormono-dépendants. D'où cet engouement tardif pour les thérapies alternatives, les phyto-hormones et les compléments alimentaires à base de Yam, Houblon, Sauge, Soja et Cimifuga.
Enfin, nous autres les hommes, même si nous ne prenons pas encore la pilule, ne sommes pas, pour autant, totalement épargnés. En effet, les hormones de croissance administrées aux animaux d'élevage industriel (Vaccination obligatoire du troupeau), ingérées ensuite par les humains sous forme de viande ou de produits laitiers (viandes rouges et fromages), ont fait flamber, les cancers de la prostate, du côlon et aussi du sein.
Jean-Pierre Perraud
Les cahiers de la Bio-énergie, n° 42 mars 2010
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